Ça avance... en coulisse
Bon, ça poste pas beaucoup par ici... et pourtant, le vestiaire "home-made" de Poupinette compte déjà quelques pièces.
Mes doigts ne sont pas restés inactifs, mais que voulez-vous, je tarde à faire les finitions, et ensuite je traine pour les photos...
Et en plus, mes petits doigts ont reçu du renfort : mes grands-mères, ma maman et ma petite soeur font jouer leurs aiguilles et j'ai déjà quelques uns de leurs ouvrages à vous montrer. Pas encore arrivée que Poupinette est déjà très gâtée !
Du coup, préparez-vous à quelques posts de layette ! Jugez vous-même ce que j'ai déjà à vous montrer !
Des petits tricots...
et des petites coutures...
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Pour commencer, voici 3 petits gilets ou brassières tricotés par mes grands mères, qui deviendront arrières grands-mères pour la première fois.
Les modèles sont issus du catalogue "Phildar Tricotez Calin n°52"
Petit gilet en 3 mois, tricoté par Maminic, ma grand-mère paternelle.
Le coton a été remplacé par de la laine pour que Poupinette ait bien chaud. Initialement prévu pour se porter avec les boutons devant, je le préfère finalement les boutons dans le dos. Même pas peur, j'ai remplacé les boutons par trois pressions en résine : ben oui, c'est un catalogue pour débutantes alors ils ne prévoient pas de boutonnières mais simplement d'écarter les mailles pour passer les boutons et ça on ne le sentait pas bien (bon, du coup, j'ai un peu galéré pour poser les pressions et j'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois pour qu'elles soient bien posées et qu'elles s'ouvrent sans difficultés mais ça y est !)
Gilet en 6 mois, toujours tricoté par Maminic
Et en arrière plan, vous pouvez voir les petits chaussons bleus et blancs assortis
Brassière rayée en 6 mois, tricotée par Maminette, ma grand-mère maternelle.
Elle a ajouté une jolie bordure en crochet autour de l'encolure et des pates de boutonnage pour bien finir la brassière. Là aussi, j'ai posé des pressions résine dans le dos
J'aime l'idée de pouvoir habiller Poupinette avec des vêtements préparés par ses arrières grands-mères. Quelle chance !